Rideau tourné vers le ciel
Ou la mer et le vent
Les femmes qui aiment
Respirent, soupirent et expirent.
Je croise les groupies fatidiques dans le monde
Un regard étoilé, feutré et je meurs.
En moi enfin jaillissent
La peur qui rassure
Les pleurs qui torturent
Les fleurs qui triturent.
Lascive, j’aime cette féminité si douce et discrète ;
Les pulsions créatrices du ciel
Conduisent l’homme à la guerre
Le poète aux tourments, la femme aux amours.
Je vous aime d’un amour sismique,
Transgresse mes élucubrations thématiques
Mais la femme,
La femme…
juillet 1989