Souvent, lorsque l’imagine,
Le jeûne délicieux se durcit en attente.
Un œil magnétique regarde les ombres cardinales
Du lézard sonore.
Le lézard Parisien se baigne d’ivresse
Dans l’oxygène vagabond.
Il admire, un instant
Cet éther malicieux
Déposée dans son regard si fragile
Sa misère coule comme un liquide écarlate.
Une Dame ressuscite sa froide liqueur sanguinaire
Mais ses soupirs fertiles
Ecrasent son sourire factice.
Ses revendications implorent au-devant le plaisir de Notre Dame.
juin 1991