La chair aseptisée vagabonde sur l’écran,
Rosace céleste, tableau baroque de la beauté-effusion
Ce souffle feutré inonde ma fonction-plaisir.
Ce sentiment cupide se reflète comme un ricochet
Chair pourpre, agacée,
Instrument trapu soupir d’ivresse
Ses lèvres meurtries abritent le frisson digital.
De l’instant,
Le hasard génère un influx charmant.
août 1991