Le fuselage physique héberge un visage triste.
L’âme, plus sourde encor
Que l’aise emporte ses désirs mielleux
Vers la chambre jaune.
Cette ogive phallique l’effleure
Ses cris feutrés en sont le symbole absent.
Son regard alors s’envole vers le ciel ardent.
Elle s’ébat sur l’oxygène de ses désirs ambrés,
Plaisir et futilité fusionnent entre mes doigts.
août 1991